FAIS PREUVE DE ZÈLE ET REPENS-TOI !
Réflexions au sujet de l’état de l’Eglise au lendemain du confinement
par Phil Edengarden, à partir d'un article de Jeremy James intitulé "Christians Must Repent of This Terrible Sin"
Il y a, dans la bible, de nombreux versets qui, même lorsqu’ils sont tirés de leur contexte, délivrent un puissant message spirituel. Ce sont là comme autant de solides colonnes dressées dans cet édifice gigantesque que constitue la sainte parole de notre dieu. Vous connaissez certainement la plupart de ceux qui vont être cités dans cette exhortation et vous savez donc à quel point ils sont précieux dans la bataille séculaire contre le mensonge et la duperie.
Celui qui va retenir notre attention aujourd’hui est particulièrement chargé de signification si nous en projetons le faisceau lumineux sur la scène mondiale et sur les événements qui s’y sont déroulés au cours des trois dernières années:
Si je concevais l’iniquité dans mon cœur, YHWH ne m’exaucerait pas. (Psaume 66:18)
Cette déclaration comporte ce que les croyants authentiques reconnaîtront comme une vérité redoutable. Il y est attesté qu'il y a des circonstances dans lesquelles le dieu qui fit le ciel et la terre ne tiendra pas compte de notre prière, dans lesquelles il restera sourd à nos supplications, dans lesquelles nous serons livrés à nous mêmes, dans lesquelles nous devrons nous débrouiller seuls.
L’idée que notre dieu puisse ne pas nous entendre, que notre père céleste puisse rester sourd à nos supplications, est troublante à l'extrême. Cela devrait nous conduire à détester l'iniquité sous toutes ses formes et à faire tout ce que nous pouvons pour l'expulser de nos vies, en commençant par confesser ce péché humblement à notre père et en implorant son pardon :
Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner et pour nous purifier de toute espèce d’iniquité. (1 Jean 1:9)
L'énormité du péché
Cela fait déjà un certain temps que de nombreuses assemblées qui se réclament de Jésus Christ se sont mises à occulter l'énormité du péché, quel qu’il soit, et la grande offense qu'il cause à un dieu caractérisé par sa sainteté. On semble avoir oublié qu’on ne peut entrer en sa glorieuse présence autrement qu’en étant saints comme lui-même est saint.
Il y a plus d’un siècle, les prédicateurs considéraient le thème du péché comme l’un des plus percutants et des plus stimulants qu’ils puissent délivrer. Ils comprenaient à quel point il était important pour chacun que percevoir ce qu’est le péché, quelle en est la véritable nature et quelles en sont les conséquences. Pour ces serviteurs de la parole, il n’y avait pas de petits péchés, il n’y avait pas de fautes insignifiantes. Ils avaient parfaitement conscience que chaque croyant doit acquérir une bonne compréhension de ce principe en le fondant sur les saintes écritures s'il veut être en bons termes avec notre dieu.
Nombre d’entre eux ont rapporté à quel point ils étaient affligés de voir tant et tant de croyants ne jamais se soucier vraiment d’une réforme en profondeur de leurs mœurs. Ceux-là se disaient sauvés mais ils ne produisaient pas les fruits durables d’une repentance authentique. Lorsqu’un serviteur de la parole essayait de leur ouvrir les yeux sur cette question, bon nombre d’entre eux cherchaient à se justifier en rétorquant que notre dieu est riche en miséricorde et qu’il peut aisément passer l’éponge sur des petits péchés insignifiants. Ils oubliaient trop souvent que notre dieu ne pardonne que les péchés que nous lui confessons. Ceux que nous gardons dans l’ombre, au fond de notre conscience, y compris ceux que nous pourrions considérer comme "petits", ont une vie qui leur est propre.
Il n'y a pas de péché si grand qu'il ne puisse être pardonné, mais il n'y a pas de péché si petit qu’il ne puisse finir par être nocif à force de négligence. Lorsque nous oublions d’exposer un aspect de notre vie devant notre dieu dans la prière et la supplication, c'est très probablement parce que nous ne voulons pas que la lumière brillante de la parfaite justice divine vienne l’éclairer. Diantre! Comme nous pouvons être rusés dans notre condition déchue lorsque nous nous efforçons de dissimuler nos péchés en prétendant qu'ils n'existent pas!
Les péchés de l'église de Laodicée
Dans le livre de la révélation de Jésus-Christ, plus connu sous l’appellation Apocalypse de Jean, nous lisons ce message adressé à l’ange de l’église de Laodicée:
Voici ce que déclare l’amen, le témoin fidèle et authentique, l’initial de la création d’Elohim: Je connais tes œuvres. Tu n’es ni chaud ni froid; je préférerais que tu sois ou chaud ou froid. Mais comme tu n’es ni chaud ni froid, c’est-à-dire tiède, je suis sur le point de te cracher hors de ma bouche. Car tu t’es enrichi et tu affirmes: je suis riche et je n’ai besoin de rien, sans réaliser à quel point tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu. Je te conseille de venir m’acheter de l’or éprouvé au feu pour que tu deviennes riche, et des vêtements blancs pour dissimuler ta honte et ta nudité, ainsi que du khôl à appliquer sur tes yeux pour que tu voies. Tous ceux que j’aime, je les reprends et les corrige. Fais preuve de zèle et repens-toi! (Apocalypse 3:16-22)
Cela fait plus d’un siècle qu’une large frange de l’Eglise occidentale, en tous points semblable à celle de Laodicée, agit de cette façon. Ses dirigeants parlent rarement du péché et de ses conséquences dévastatrices parce que tout examen approfondi des effets du péché ne ferait qu'attirer l'attention sur leur propre mollesse et sur leur propre idolâtrie matérialiste.
Nous ne considérons jamais le péché qu’à partir de notre propre point de vue, très humain, et nous en relativisons la gravité. Si nous voulons comprendre ce que cela donne du point de vue de notre père céleste, nous devons étudier ce qu’il en dit lui-même dans sa parole. L'une des choses les plus importantes que nous puissions apprendre de la bible - ce qui, encore une fois, se trouve être quelque chose que nous ne pouvons pas apprendre autrement - est la nature corrosive du péché. Sa capacité à détruire est infiniment plus grande que tout ce que nous pourrions imaginer en faisant exclusivement appel à notre propre entendement, si limité. Nous avons besoin des écritures pour voir en vérité à quel point le péché est réellement nocif et dévastateur.
Quand tout un peuple s’obstine dans la désobéissance
Une lecture attentive du livre de Jérémie, à partir du chapitre 42, nous permet d’entrevoir tout ce que nous sommes capables d’entreprendre pour nous cacher de nos péchés. Voici ce qui est relaté dans ce passage des écritures: des suites de l’infidélité de ses habitants à la parole de YHWH, la ville de Jérusalem venait d’être assiégée et détruite par les Babyloniens. Par l’entremise du prophète Jérémie, YHWH exhorta le peuple élu à rester sur place dans l’attente d’une intervention de sa part. Plusieurs survivants à cette invasion armée décidèrent néanmoins de fuir et de descendre en Egypte, forçant le prophète Jérémie et son serviteur Baruch à les y accompagner, contre leur gré. Il est vrai que l'Égypte était alors commercialement prospère, politiquement stable, et semblait offrir un avenir beaucoup plus prometteur. Mais ce n’était pas l’option que YHWH avait envisagée pour son peuple.
En chemin vers l’Egypte, Jérémie et Baruch ne cessèrent de répéter ce message, encore et encore, à tel point que le chef de ce groupe de fuyards convoqua une assemblée générale pour régler le problème. D’un commun accord, ils demandèrent à Jérémie d’interroger formellement YHWH sur cette question, tout en s’engageant formellement à faire tout ce que YHWH leur demanderait par l’entremise de son prophète.
Que YHWH, s’écrièrent-ils, soit contre nous un témoin fidèle et véridique, si nous ne faisons pas tout ce que le seigneur ton dieu t’aura chargé de nous dire! Agréable ou non, nous obéirons à l’ordre de YHWH notre dieu, auprès de qui nous te déléguons, afin que tourne à notre avantage notre soumission aux ordres du seigneur notre dieu! (Jérémie 42:5-6)
En réalité, ils mentaient; la suite du récit va nous le confirmer. Ils étaient comme ces adolescents qui se tournent vers leurs parents pour demander une autorisation afin de pouvoir faire ce qu’ils désirent, tout en sachant dans leur for intérieur que s'il n'obtiennent pas leur approbation, ils n’en feront quand même qu’à leur tête.
Dix jours!
YHWH attendit dix jours avant de répondre à Jérémie. Dix jours! Cela seul aurait dû suffire à leur indiquer que YHWH avait déjà parlé et qu’il n’avait pas la moindre intention de se répéter et encore moins de se dédire. Mais devant leur obstination à ne pas vouloir l’entendre, à ne pas vouloir rebrousser chemin, il finit par faire savoir, par la bouche de Jérémie, qu’il n’avait pas changé d’avis. Il ne fit que leur répéter les promesses qu’il avait déjà exprimées, à savoir que s'ils restaient en terre d'Israël, tout finirait par aller bien pour eux. YHWH s'assurerait que le roi de Babylone ne leur fasse aucun mal mais leur permette de planter, de récolter et de prospérer comme avant. Mais s'ils insistaient pour descendre en Égypte dans une vaine tentative d'éviter les conflits et l'oppression, alors les choses mêmes qu'ils craignaient - la famine et l'épée - les rattraperaient là-même où ils pensaient trouver refuge, loin de la volonté de YHWH.
Le message délivré par Jérémie se termine comme suit:
Voici ce que vous a dit YHWH, survivants de Juda: N’ALLEZ PAS EN EGYPTE! Tel est l’avertissement qui vous est donné solennellement aujourd’hui. Et dans le même temps, je vous fais savoir que vous vous êtes menti à vous-mêmes lorsque vous m’avez délégué auprès de YHWH notre dieu, en disant: Intercède pour nous auprès de YHWH notre dieu, nous ferons tout ce que tu nous diras avoir été ordonné par YHWH notre dieu. Car vous n’allez pas écouter la voix de YHWH votre dieu ni rien de ce qu’il m’a chargé de vous transmettre. Sachez donc bien que vous mourrez par l’épée, par la famine et par la peste dans ce pays où vous voulez aller vous établir. (Jérémie 42:19-22)
Le message délivré de la part de YHWH était donc clair: c’était non, non et non. En outre, il exprimait aux survivants de son peuple qu’il connaissait parfaitement les intentions de leur cœur et qu’il savait, avant même de s’adresser à eux, qu’ils n’avaient jamais eu l’intention de lui obéir en renonçant à leur projet de se rendre en Egypte s’il le leur demandait.
Tous ces orgueilleux…
Tant les dirigeants que les membres du groupe, hommes et femmes confondus, et que le texte désigne par l’expression "tous ces orgueilleux", répondirent à cette prophétie de la manière la plus arrogante et la plus dédaigneuse qui soit:
Ce sont des mensonges que tu dis là: YHWH notre dieu ne t’a pas donné mission de nous dire de ne pas aller demeurer en Egypte. C’est Baruch, fils de Néria, qui t’excite contre nous, dans le but de nous livrer aux Chaldéens pour la mort ou pour la déportation à Babylone. (Jérémie 43:2-3)
Notons que la plupart des expressions d'arrogance et de désobéissance que l'on trouve ailleurs dans la bible sortent de la bouche des dirigeants et des figures d’autorité. Dans son ensemble, le peuple murmure de temps en temps, mais le noyau dur, le plus fort de la résistance provient généralement de ceux qui se trouvent au sommet de l’échelle sociale. Or dans ce cas précis, c’est différent. Contrairement au schéma habituel, nous voyons ici le petit peuple entrer en coalition pour s'opposer à la volonté de YHWH. Bien que très rarement mentionnée dans les sermons et les discours pastoraux, cette scène de rébellion collective est l'une des plus choquantes de l’écriture.
Tu n’auras pas d’autre dieu sur ma terre (Exode 20:3)
Dans le livre de l’Exode, au chapitre 20, nous lisons que YHWH avait jadis délivré le peuple qu’il s’était choisi de la main et de l’oppression du Pharaon d’Egypte, pour les installer ensuite sur sa terre, où les fils d’Israël auraient dû vivre en harmonie avec leur dieu, en respectant toutes ses ordonnances, dont les premières s’expriment comme suit:
Je suis YHWH ton dieu, qui t’ait fait sortir d’Egypte, de la maison de servitude. Tu n’auras pas d’autre dieu sur ma terre. Tu ne te feras pas de sculpture figurant quoi que ce soit de ce qui est en haut dans le ciel ou en bas sur la terre ou plus bas dans les eaux. Tu ne te prosterneras pas devant elles pour leur rendre un culte, car moi, YHWH ton dieu, je suis un dieu jaloux: je punis l’iniquité des pères dans les enfants, jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me délaissent et je fais miséricorde jusqu’à la millième génération à ceux qui m’aiment et observent mes commandements. (Exode 20:2-6)
Statuette de l'idole Astarté
Mais les fils d’Israël se détournèrent de YHWH et se mirent à vouer un culte aux idoles païennes. En lui désobéissant, ils ne rompirent pas seulement l’alliance qui les liait à leur dieu, mais ils blessèrent son cœur de père. Et telle est la conséquence de cette transgression des commandements divins que l’on appelle le péché: faire de la peine à YHWH, l’offenser, le blesser au cœur. Et YHWH, qui est un dieu jaloux – vous pourriez presque dire exclusif – met alors tout en œuvre pour ramener à lui les élus de son cœur. Si cela doit passer par un temps de malédiction, cela passe par un temps de malédiction, jusqu’à ce que ses enfants crient au secours et qu’il puisse à nouveau exercer sa miséricorde et les délivrer du piège dans lesquels ils sont tombés, du puits au fond duquel ils croupissent, de la geôle dans laquelle ils sont enfermés, de toute situation qui fait d’eux des esclaves rampants devant des figures d’autorité étrangères.
La suite du récit du livre de Jérémie que nous avons évoqué précédemment nous relate les événements qui se déroulèrent par la suite, lorsque les survivants de Juda arrivèrent en Egypte. Comme si le fait d’avoir vénéré des idoles étrangères (autrement dit des démons) au temps où ils vivaient encore sur la terre sainte n’avait pas suffi à exciter la jalousie de YHWH et à les placer sous le joug d’une malédiction, ils s’engagèrent publiquement à vouer un culte aux idoles de l’Egypte. Autrement dit, ils se comportèrent comme des chiens qui retournent à leur vomi.
Alors tous les hommes qui savaient que leurs femmes encensaient les idoles étrangères et toutes les femmes rassemblées là, en grand nombre, et tout le peuple qui demeurait, à Patros, en Egypte, s’adressèrent à Jérémie en ces termes : Ce que tu as dit au nom de YHWH, nous ne l’acceptons pas. De toute façon, nous allons remplir nos promesses de brûler de l’encens à la Reine du ciel et de lui verser des libations, comme nous le faisons, nous et nos pères, nos rois et nos chefs, dans les villes de Juda et les rues de Jérusalem. Nous avions alors du pain à satiété, nous étions dans l’abondance et nous ne savions pas ce que c’était que le malheur. Or depuis que nous avons cessé d’offrir l’encens à la Reine du ciel et de lui verser des libations, tout nous manque et nous périssons par le glaive et la famine. (Jérémie 44:15-18)
Dans ce passage, il apparaît clairement que c’est en fait avec YHWH qu’ils se disputent. Ils lui disent explicitement que tout allait bien pour eux lorsqu’ils s’en remettaient à la puissance de la Reine du ciel, une idole païenne, probablement Astarté, l’idole phénicienne de la fertilité, du sexe, de la guerre et de la chasse! Et le texte montre bien que, c’est de prospérité matérielle qu’ils voulaient, de la satisfaction immédiate des plaisirs charnels et non pas de bénédictions spirituelles, non pas d’une relation d’amour avec leur père céleste. De surcroît, ce rejet de YHWH ne fut pas exprimé seulement par les chefs mais aussi par les gens ordinaires.
Aveuglés par leurs appétits charnels, ces élus se comportaient de la même façon que les nations païennes des alentours; ils se souciaient davantage du lendemain, de ce qu’ils allaient boire et manger, de ce dont ils seraient vêtus, que de l’avènement du royaume de YHWH sur cette terre qu’il leur avait donnée. Ils avaient oublié qu’il y avait une alliance entre eux et leur dieu, et que YHWH avait le droit de les juger et de les châtier pour cette rupture de contrat.
Jérémie entreprit alors de leur annoncer le sort funeste que YHWH leur réservait, car ils refusaient non seulement de tirer leçon de la calamité qui s’était abattue sur le pays de Juda des suites de leur infidélité, mais parce qu’ils s’obstinaient sur la mauvaise voie (cela nous est relaté à la fin de ce récit, dans la dernière partie du chapitre 44 du livre de Jérémie que je vous invite à lire par vous-mêmes).
Acceptation et promotion du récit officiel du Covid-19 par les églises
Aujourd’hui, toutes ces personnes que l’on peut comparer aux membres de l’église de Laodicée se comportent exactement de la même manière que ne l’ont fait ces survivants de Juda au temps de Jérémie. Ils sont, eux aussi, sans péché à leurs propres yeux. Ils ont, eux aussi, pris pour argent comptant l’abondance des bénédictions de YHWH. Ils ont, eux aussi, manqué de reconnaître que YHWH est le seul et unique dispensateur de toute bénédiction dont on puisse jouir sur cette terre. Ils en ont oublié, eux aussi, de se réjouir en lui et en nul autre. Ce constat affligeant aurait certes pu être fait bien avant l'arrivée de la soi-disant «pandémie du Covid-19», mais cet événement particulier, avec toutes ses implications, a exposé la flagrante hypocrisie de la majorité des églises actuelles sous de puissants projecteurs de lumière.
Un colloque s’est tenu, le 17 septembre 2022, à Belfast, en Irlande du Nord, sur le thème "Pourquoi la majorité des églises ont-elles accepté le narratif officiel du Covid-19 et en ont-elles fait la promotion?" Ce qui a été exprimé au cours de ce cycle de conférences au sujet de la situation en Irlande peut être étendu autres pays où des mesures drastiques pour faire face à cette soi-disant pandémie ont été prises par les gouvernements et relayés ensuite en long et en large, non seulement par les médias, mais aussi au sein de nombreuses églises.
Dans son intervention à ce colloque ( → State of The Nation Session ), le pasteur Luke Barker fait mention d’une réunion entre des représentants du gouvernement et la plupart des responsables religieux d’Irlande du Nord. Celle-ci fut organisée sans aucune publicité, à l’insu de la grande majorité des membres des différentes communautés que chacun des participants était venu représenter. L’objectif de cette séance à huis-clos était de garantir que "le récit officiel sur le Covid-19" puisse être formellement approuvé et relayé par toutes les instances religieuses d'Irlande du Nord. Au nombre des représentants officiels de ces communautés religieuses figuraient ceux de l’Eglise presbytérienne, de l’Eglise méthodiste, de l’Eglise évangélique, de l’Eglise pentecôtiste, du conseil irlandais des églises, de l’Eglise catholique romaine, de la communauté juive, du mouvement Bahaï, des Mormons, des Quakers, ainsi que des communautés musulmane et hindoue.
Une forme d’engagement tacite entre ces responsables religieux et les représentants du gouvernement pourrait expliquer pourquoi le narratif officiel n’a pas été analysé à la lumière des écritures ni remis en cause par les pasteurs et les prédicateurs, mais, au contraire, retransmis tel quel et appliqué à la lettre, comme s’il s’agissait d’un commandement divin que personne ne pouvait remettre en question.
César a pris le contrôle
Lorsque le programme Covid fut lancé, ce fut comme si l’abomination de la désolation était entrée dans le temple de YHWH pour s’y établir, ce fut comme si la loi de l’empereur romain avait supplanté les tables de la loi divine. Oui, César est entré dans l'Eglise et des dirigeants chrétiens trompeurs ont trahi leur congrégation. La parole de notre dieu a été rejetée, tout comme des bâtisseurs rejettent la pierre de la fondation et la mettent au rebut pour la remplacer par une autre. Soudain, des siècles de pratique chrétienne solide ont été piétinés par la seule décision de gouvernements à la solde de l'Organisation Mondiale de la Santé et de ses mandarins marxistes.
Certains, partant sans doute d’une mauvaise interprétation d’un passage de la lettre de Paul aux Romains (Romains 13:1-7), en sont mêmes venus à déclarer que ce n’était pas chrétien de remettre en question ce qu’avait décidé le gouvernement et que c’était faire entrer le loup dans la bergerie que de s’interroger sérieusement sur le bien-fondé de ces nouvelles réglementations oppressives voulues par les autorités.
C’était oublier qu’il y a plusieurs facteurs à prendre en considération avant d’appliquer à la lettre un texte qui n’est jamais qu’une exhortation de Paul, un avertissement (et non pas un commandement absolu décrété par YHWH lui-même, comme certains inconditionnels de Paul aimeraient le faire croire). Et dans ce cas précis, au vu du nombre de personnes mortes des suites de l’injection du pseudo-vaccin expérimental, nous avons pu constater à quel point la lettre tue!
Il y a une différence notable entre la question de conscience personnelle et de survie dans un système collectif éventuellement inadapté et le besoin de transgresser une loi: on ne doit pas confondre la personne qui prend ses responsabilités avec celle qui pose un acte de rébellion. Et lorsqu’un régime totalitaire impose des règles qui violent la loi morale ou/et les lois établies par la constitution d’un pays, la désobéissance à ces règles est non seulement un droit mais un devoir, quelles que soient les sanctions encourues. Un exemple-type de désobéissance obligée est la situation dans laquelle la survie personnelle, ou celle de gens proches, est en jeu. Par exemple, la délation sous l’occupation allemande durant la deuxième guerre mondiale: cacher des juifs était un délit et qui, dans nos églises, osera affirmer qu’une Corrie Ten Boom et sa famille ont commis un grave péché en cachant des Juifs dans leur maison de Haarlem, au péril de leur propre vie? Si les parents de Moïse n’avaient pas désobéi, en ne supprimant pas leur fils à sa naissance, comme l'avait ordonné le Pharaon d’Egypte, il n’y aurait pas eu le Décalogue et Israël n'aurait jamais été délivré de l'esclavage!
L'arche d'alliance et son contenu: les tables de la loi, un peu de manne et le bâton d'Aaron. Ce coffre contenant le texte qui scelle l'alliance entre YHWH et son peuple était gardé dans l'endroit le plus saint du temple de Jérusalem. Le péché suprême consiste à s'asseoir sur ce coffre, qu'on appelle également "le trône de la justice". Autrement dit, en faisant passer des lois séculaires iniques au-dessus des lois divines, on commet un péché d'une ampleur telle que ses effets seront inéluctablement dévastateurs: telle est L'ABOMINATION DE LA DEVASTATION.
Ceux qui s’accrochent bec et ongles à ce passage de la lettre de Paul aux Romains pour justifier leur collaboration aux plans de ces gouvernements qui nous dirigent actuellement et sont assujettis à Mammon, omettent souvent de situer cette recommandation dans son contexte historique. Et c’est très important! Comment ose-t-on affirmer qu’un gouvernement qui n’est jamais que l’héritier de la Révolution française et s’en réclame soit en phase avec la volonté de notre dieu? Comment ose-t-on affirmer qu’un gouvernement dont les membres appartiennent à la franc-maçonnerie sataniste soit le protecteur de la vie et le garant de la loi morale quand il promeut des lois pro-avortement, pro-euthanasie, pro-mariage contre nature? Plus que jamais, cette affirmation de l’apôtre Jean devrait résonner dans notre esprit:
Nous savons que nous sommes d’Elohim et que le monde entier est sous le contrôle du Malin. (1 Jean 5:19)
Et puis, comment ne pas se tromper dans l’application qu’il convient de donner à ce texte répertorié au chapitre de la lettre de Paul aux Romains si l’on a oublié le passage qui le précède directement:
Ne vous modelez pas sur le monde présent. Au contraire, transformez-vous par le renouvellement de vos pensées afin de discerner quelle est la volonté de YHWH, ce qui est bon, ce qui lui plaît, ce qui est parfait. (Romains 12:2)
La conformité aveugle aux dictats du monde est devenue une forme de droiture. Les anciens dans l’Eglise, qui auraient dû organiser des réunions pour débattre au sujet des mesures radicales qui étaient imposées arbitrairement à l’Eglise de Jésus-Christ, sont devenus un puissant canal au service de la propagande gouvernementale. Aucune de ces personnes n'a tremblé devant la parole de notre dieu, mais la plupart d'entre elles ont tremblé devant les décrets émis par des responsables gouvernementaux athées, des experts des médias et des imposteurs médicaux.
Bref, Satan a pris le contrôle de nos églises et de leur mode de fonctionnement. Le véritable leadership chrétien et un sain discernement fondé sur la seule écriture ont disparu brutalement. Même les membres de familles qui font partie de l'Eglise de Jésus-Christ depuis des décennies ont démontré qu’ils étaient disposés à ignorer tout à trac la parole de leur dieu ou à la considérer comme non-pertinente. Dans le même temps, ils ont pris pour argent comptant toutes les affirmations absurdes et dénuées de preuves tangibles que leur gouvernement n’a cessé de dispenser semaine après semaine par l’intermédiaire de médias menteurs.
Une liste interminable de péchés
Une énumération systématique des péchés qui ont été commis par l’Eglise pendant la crise du Covid dépasse la portée de cet article. Nous ne pouvons qu'esquisser très brièvement les types de transgression et d'ignorance délibérée qui sont venus caractériser l'attitude et le comportement des dirigeants et des membres de l'Eglise durant cette période.
Voici donc, à titre d’exemple, une liste non exhaustive de protocoles imposés par les gouvernements et une description succincte de différentes situations dans lesquelles la parole de notre dieu a été négligée. L’argument majeur qui motive toutes ces mesures est la sécurité de tous (safety), autrement dit la protection du corps de chacun et la quiétude mentale. Il n’y a que le pape François qui se soit aventuré à définir le respect des règles sanitaires, en particulier la vaccination expérimentale, comme un acte d’amour. A vous, cher lecteur, de discerner par vous-même si ces observations sont valables ou non et en quoi tout cela a pu contrister l’Esprit-Saint.
A la lecture de ces lignes, veuillez garder à l'esprit que ces observations n’ont pas pour objectif de pointer qui que ce soit du doigt mais d’inviter chacun à une réflexion sérieuse sur l'ampleur de ce qui s'est passé au cours des trois dernières années. Si des péchés abominables ont été commis - et ce fut le cas, comme vous allez le lire - alors tous ceux qui ont participé à ces violations de la parole de notre dieu devront confesser publiquement leurs transgressions et s’en repentir.
1. Les fidèles d’un même culte ne peuvent plus célébrer ensemble leurs cérémonies et leurs fêtes
Aidés en cela par les responsables d’églises, nos gouvernements ont rendu service à Satan en empêchant toute forme de culte public et collectif à notre dieu. En France, une enquête de la cellule « Investigation » de Radio-France a déterminé que c’était un rassemblement organisé par l’Eglise chrétienne «Porte ouverte» à Mulhouse, et où s’étaient réunis près de 5000 participants, qui avait servi de détonateur à l’épidémie. Très rapidement, ce sont d’abord les dirigeants des différentes églises qui ont pris la décision de fermer les portes et d’interrompre toute pratique des cultes. Et là où les cultes ont continué malgré tout, il a été demandé aux femmes enceintes et aux personnes âgées de ne plus y assister!
Seuls quelques responsables religieux ont refusé tout net de se plier à cette fermeture des lieux de culte. Un prêtre catholique traditionaliste, l’abbé Philippe Guépin, a continué de célébrer la messe car, d’après lui, «le fait d’aller prier ensemble dans les églises est un moyen excellent pour mener le combat contre le coronavirus […] C’est comme cela que les anciens qui nous ont précédés agissaient quand il y avait des épidémies de peste et de choléra. Ils allaient prier le Bon Dieu pour lui demander son secours. C’est autrement plus efficace que ce que les pouvoirs publics peuvent suggérer comme mesures sanitaires».
Mais pour la grande majorité des chrétiens, à partir de la mise en place de ces mesures sécuritaires, pour la première fois depuis 2000 ans, on a commencé à mener une vie d’Eglise chez soi, assis passivement dans un canapé, derrière un écran lumineux, sans aucune interaction les uns avec les autres. De surcroît, ces services religieux en streaming ont été du pain béni pour les marxistes et francs-maçons qui nous gouvernent puisqu’ils ont pu, sans aucune difficulté, preuves à l’appui, rassembler un tas d’informations utiles à leurs plans de contrôle absolu sur la vie des citoyens du 21e siècle: quelle doctrine est professée et par qui, de quelle manière, où et à quel moment, qui participe à tel ou tel culte, etcétéra.
Et si ce qui s’est passé lors du confinement n’était jamais qu’un coup d’essai en vue de mesures restrictives du même type voire plus sévères à l’avenir, il ne faudra pas s’étonner de voir certaines diffusion en streaming interrompues subitement par la censure dès qu’un prédicateur aura exposé le point de vue biblique sur les questions d’avortement, de vaccination obligatoire, d’euthanasie ou de mariage entre individus du même sexe.
A ces responsables d’églises qui ont préféré obéir aux hommes plutôt qu’à leur dieu et qui cherchent à se justifier, en disant: «mais que pouvions-nous faire?» Je répondrai ceci: était-ce à ce point inconcevable de décider de se réunir sur une place publique tout en gardant les distances sociales obligatoires pour ne pas se faire arrêter? N’était-il pas envisageable d’organiser des réunions de louange communautaire dans un parc, une prairie, une forêt? Et puis, les églises martyres de Chine, d’Iran ou d’ailleurs, comment font-elles? Ne fallait-il pas envisager d’entrer tout simplement, comme elles, en clandestinité?
Eglise de Laodicée, où il ne fait ni chaud, ni froid… Eglise bien-pensante, prisonnière de la conformité au monde, et où la parole de notre dieu a été étouffée par la mollesse et la peur des sanctions…
2. Les fidèles d’un même culte peuvent à nouveau célébrer leurs cérémonies et leurs fêtes sous certaines conditions
Dans un deuxième temps, les gouvernements ont rendu possible la réouverture des lieux de culte, mais sous certaines conditions qui rendaient la propagation de l’évangile quasiment impossible, ce qui n’aura pas manqué de réjouir Satan.
«La sécurité de tous ceux qui se rendent a l'église est une condition de base absolue pour le redémarrage des célébrations». Par conséquent, «la distanciation sociale est maintenue» et «les fidèles sont tenus de porter un masque buccal avant, pendant et après les célébrations qui sont encore autorisées (funérailles et mariages) et pendant la prière personnelle a l'église.»
Deux chrétiens surpris en flagrant délit: ils prient sans porter de masque buccal et ne respectent pas les distanciations sociales
Comme nous l’avons évoqué précédemment, aucune concertation n’a, semble-t-il, été organisée au sein des églises pour remettre en cause toutes ces mesures totalitaires. En revanche, des réunions se sont tenues au sein des différentes équipes pastorales pour veiller au respect des règles sanitaires. Ainsi trouve-t-on, au nombre des directives envoyées aux églises, l’obligation de «prévoir régulièrement et dans le respect des règles de distanciation, des réunions avec l'équipe pastorale pour savoir ce qui se passe dans l'église et pour discuter des applications concrétés du présent protocole», de même que prévoir des concertations avec les économats «au sujet de l'achat des produits nécessaires», les frais afférant à ces produits étant «selon la loi», à charge de ces différentes caisses d’églises.
C’est tout à fait le genre de directives que le parti communiste chinois pourrait adresser aux églises patentées.
3. L’évangélisation est interdite
Quoi qu’en diront les autorités en place, nous avons toujours le droit – et le devoir ! – de partager la bonne nouvelle du salut. Depuis deux millénaires, lorsque les dirigeants totalitaires et leurs valets sadiques leurs mettaient des bâtons dans les routes, les dirigeants chrétiens entraient en conflit ouvert avec eux. Oui, ils s’opposaient à eux! Les chrétiens appréciaient tellement l'évangile de Jésus de Nazareth qu'ils le prêchaient partout et en tout temps, advienne que pourra. Et des milliers de martyrs moururent parce qu’ils s’étaient opposés aux puissances de ce monde de ténèbres afin d’y faire resplendir la lumière du Christ.
Lorsque cette guerre contre le coronavirus a été déclarée, il est soudain devenu illégal de se tenir dans la rue avec un tract et d'engager un passant dans une simple conversation ! On a dit aux chrétiens d’attendre patiemment chez eux un moment plus opportun. Qui, parmi les dirigeants de nos églises occidentales, a-t-il osé remettre en cause cette folie furieuse? L’âme de l’homme perdu a-t-elle si peu de poids à nos yeux pour que nous lui demandions d’attendre que des autorités à la solde de Mammon donnent le feu vert pour lui parler de Jésus-Christ à un moment plus approprié?
4. Les baptêmes ne sont pas autorisés
Là aussi, les dirigeants de nos églises ont failli à leur devoir le plus élémentaire. Nous savons à quel point le salut et le baptême sont liés. Nous ne parlons pas, ici, des rituels de passage pratiqués juste après la naissance d’un enfant dans un ménage de culture chrétienne, événement souvent assorti d’une fête de famille, mais des baptêmes d’adultes et du témoignage que ces baptêmes représentent pour la communauté des croyants. Il s’agit de l’entrée d’un nouveau converti dans le giron de l’Eglise, de son intégration officielle au sein du corps de Jésus Christ.
On nous a expliqué que la meilleure chose à faire, lorsque nous rentrions à la maison, était de se laver les mains avec de l’eau chaude et du savon. Eh bien, il eut été très simple de rassurer les plus timorés en organisant des baptêmes dans des baignoires d’eau chaude et savonneuse. Mais nous le savons: dans l’église de Laodicée, ce genre de choses, cela ne se fait pas.
5. Toute visite aux malades et aux mourants est interdite. La prière auprès d’eux est empêchée et toute imposition des mains avec de l’huile est interdite
LES OEUVRES DE MISERICORDE - Illustrations datant de 1504 - Cliquez sur les images pour les voir en agrandissement.
L’évangile selon Matthieu nous a transmis un enseignement du maître, Jésus Christ, au sujet de ce qu’on a ensuite appelé les œuvres de miséricorde: nourrir l'affamé, abreuver l'assoiffé, accueillir l'étranger, vêtir quiconque est nu, soigner les malades, visiter les prisonniers et ensevelir les morts (Mathieu 25:31-46). Certes, la pratique de ces œuvres ne peut en rien nous obtenir d’être réconciliés avec notre père des cieux puisque, nous le savons, c’est par la seule foi en Jésus-Christ, fils unique du dieu vivant, sauveur, que nous obtenons la purification de nos péchés et le salut. Mais dès l’instant où nous devenons enfants de YHWH par la foi en Jésus, il est attendu de nous que nous portions du fruit et que nous pratiquions les œuvres bonnes que notre père a préparées d’avance (Ephésiens 2:10), en l’occurrence ces œuvres de miséricorde. Ne pas les pratiquer nous expose à un jugement sévère de la part de notre dieu. En outre, et cela concerne nos gouvernements, nous empêcher de les exercer revient à se mettre en travers des plans d’amour de notre dieu envers l’humanité souffrante.
Rappelons qu’au début de cette crise du Covid, personne ne pouvait prédire la suite des événements et que rien n’a été mis en place au sein des différentes communautés chrétiennes pour envisager l’éventualité de restrictions sanitaires s’inscrivant dans la durée. Qui pouvait alors savoir combien de temps nous allions rester dans cette situation? Combien de nos anciens allaient-ils devoir mourir dans l’isolement le plus néfaste avant que leur entourage n’obtienne carte blanche de la part des gouvernements pour les entourer des égards qui leur sont dus? Combien de malades allaient-ils devoir mourir sur des lits d’hôpitaux sans recevoir une seule visite de proches, sans qu’aucun groupe d’anciens ne puisse venir prier pour eux au nom de Jésus-Christ, en leur imposant les mains avec de l’huile?
Il est de notre devoir de chrétiens de pratiquer la miséricorde, d’entourer d’égards les plus faibles, de leur apporter du secours. Mais le pouvoir en place nous a interdit de faire ce que notre père des cieux nous commande de faire! Confronté à une décision des autorités qui allait à l’encontre de sa mission, l’apôtre Pierre n’a-t-il pas répondu qu’il fallait obéir à YHWH, au dieu de Jésus Christ, et non aux hommes (actes 5:29)? Et n’a-t-il pas, aussitôt sorti du tribunal où on lui avait pourtant interdit de poursuivre son œuvre, repris du service comme si de rien n’était, quitte à se faire arrêter à nouveau et subir un châtiment?
Maudite église de Laodicée, dont le cœur est insensible, ni chaud, ni froid, ton dieu va te vomir de sa bouche.
6. Restez chez vous, en quarantaine, même si vous n’êtes pas malades, et portez un masque buccal
La bible nous a donné des indications sur la manière de traiter les maladies contagieuses. Il y a, dans le livre du Lévitique, des prescriptions sur la manière de diagnostiquer la maladie de la lèpre et sur les processus de guérison de la maladie. Je me permets de vous renvoyer à une excellente étude sur le sujet: → La lèpre selon les prescriptions du Lévitique
Nous savons par les évangiles que Jésus connaissait parfaitement et respectait le protocole à suivre en raison des directives qu’il a données aux lépreux qu’il a guéris miraculeusement durant son ministère public. Ce qui vaut pour la lèpre vaut pour toute maladie infectieuse et le Covid-19 entre dans cette catégorie de maux. Or, dans la bible, on ne met pas en quarantaine les personnes en bonne santé, seulement les personnes contagieuses. On ne demande pas non plus à des personnes en bonne santé de porter quelque protection que ce soit devant la bouche, seulement aux malades, pour éviter qu’ils ne transmettent la maladie à d’autres…
Pourquoi les responsables d’églises ne se sont-ils pas insurgés contre le confinement, les couvre-feux et autres mesures de mises en quarantaine d’une population en bonne santé, c’est-à-dire ne présentant aucun des symptômes de la maladie? Et qu’on ne me parle pas de ces âneries qu’on a pu entendre sur les personnes qui auraient été diagnostiquées malades mais asymptomatiques pour justifier de leur isolement! Renseignez-vous: une maladie asymptomatique, cela n’existe pas! Encore une fois, où étaient les responsables d’églises lorsqu’il eut fallu s’insurger contre de tels mensonges?
7. Faites-vous injecter un vaccin expérimental
Selon le Code de Nuremberg, si un médecin administre un vaccin expérimental à une femme enceinte, il est coupable d'un crime grave et doit être radié de l’ordre des médecins. Les anciens de toutes nos églises savaient parfaitement que le soi-disant "vaccin" Covid était expérimental et qu'il n'avait même pas été testé au préalable sur des animaux. Et pourtant, ils ont approuvé son inoculation généralisée parmi les croyants et, dans de nombreux cas, ont cautionné la théorie de sa prétendue innocuité et de son efficacité présumée. Ce faisant, ils ont ignoré les nombreux passages de l'écriture qui nous demandent d'être prudents lorsque nous prenons une décision irrévocable dont les effets seront irréversibles. Par exemple:
L'homme naïf croit tout ce qu'on dit, mais l'homme prudent observe attentivement ses pas. (Proverbes 14:15)
Un homme prudent anticipe le mal et se cache, mais les naïfs passent outre et sont punis. (Proverbes 22:3)
Jusqu'à présent, toutes les données scientifiques et cliniques concernant l’innocuité de ces produits chimiques et leur efficacité ont été fournies uniquement par les entreprises qui fabriquent ces substances et tirent d’énormes profits de leur distribution à grande échelle. Mais cela, nos dirigeants d’église ont fait mine de l’ignorer.
Une Eglise qui garde le silence alors qu'un scandale comme celui-ci continue de se dérouler sous nos yeux est une institution corrompue, imprégnée de vilénie et de péché.
CONCLUSION
A vrai dire, nous pourrions rallonger la liste ci-dessus à n’en pas finir. Les péchés commis par l'Eglise institutionnelle au cours des trois dernières années, tous en lien avec la soi-disant pandémie de Covid, sont légion. Il est effrayant de considérer à quel point cette Eglise a échoué et – ce qui est au centre de notre propos en écrivant cet article – à quel point cette Eglise est peu encline à admettre à quel point elle a fait preuve de désobéissance et d’iniquité. Bien entendu, nous péchons tous, mais nous prions quotidiennement pour comprendre notre péché et, l'ayant vu, demandons pardon au Seigneur. La repentance est au cœur de la vie chrétienne:
Qu’un homme juste tombe sept fois, il se relève à nouveau. Mais les méchants tomberont dans le malheur. (Proverbes 24:16)
Hélas, quiconque refuse de reconnaître ses péchés et de les confesser devant notre père des cieux tombe dans un piège spirituel fatal. Les dirigeants de l'église de Laodicée, ainsi que la plupart des membres de cette congrégation se sont laissé enfermer dans ce piège. Cette crise du Covid aura eu de nombreuses répercussions à tous niveaux, mais la principale d’entre elles, en ce qui nous concerne, aura été à n’en pas douter le tort que tout cela aura occasionné à la prière des chrétiens. Comme le dit le psalmiste:
Si j'avais conçu l'iniquité dans mon cœur, YHWH ne m'aurait pas exaucé. (Psaume 66:18)
Lorsque l'agitation sur terre ira croissante, ceux qui se disent chrétiens se tourneront vers leur dieu avec force prières ferventes et sincères, en l'implorant de les garder et de les protéger. Alors, un grand nombre d’entre eux découvriront, avec horreur et consternation, que leurs prières ne sont pas entendues.
L'Eglise actuelle ressemble à ces survivants d’Israël qui étaient en chemin vers l’Egypte, tous solidaires dans leur rébellion effrontée contre leur dieu. Ils prétendaient savoir ce qu’il y avait de mieux à faire, sans accorder de confiance à la parole de YHWH, celle que leur avait transmise son prophète, Jérémie. Ils se dirigeraient vers l'Egypte et point final.
Eh bien, c'est exactement la direction que l’Eglise institutionnelle actuelle a emprunté, et elle s’enfonce toujours plus avant dans les profondeurs du domaine de Pharaon.
À moins que ses terribles péchés ne soient confessés publiquement et que l'Eglise institutionnelle dans son ensemble ne se présente humblement devant YHWH dans un authentique esprit de repentance, elle demeurera une cible de choix pour Satan.